Même si sa méthode lui permet d'élargir les limites de son champ d’investigation, l'Étiopathie circonscrit en permanence son champ d'intervention.
Fidèle aux principes de rigueur et de transparence qu'elle s'est elle-même fixés, l’Étiopathie réservera toujours ses interventions à un nombre précis de troubles, parfaitement décrits et accessibles, et dont le nombre progresse encore grâce à la recherche fondamentale et au développement de sa méthode.
Vouée aux troubles fonctionnels, elle intervient en particulier là où les thérapies médicamenteuses peuvent s'avérer surdimensionnées, voire porteuses de dommages collatéraux tels qu'effets secondaires, accoutumances, inefficacité, etc.
L'Étiopathie ne saurait guérir les maladies dégénératives, ni soigner les affections microbiennes qui nécessiteront toujours des antibiotiques, et encore moins se substituer à la chirurgie, dont elle reste la modeste illustration non instrumentale. Dans tous ces cas, un étiopathe réoriente immédiatement son patient vers le médecin compétent.
Néanmoins, dans certains cas bien précis, elle peut aussi intervenir de façon complémentaire pour des maladies sortant de son domaine d'application et qui relevent d'un traitement médical substitutif ou palliatif. Les possibilités sont envisagées au cas par cas, sans contrevenir au traitement établi.